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Amoris laetitia ( le Père Gerald Murray ) 

« LE CHAPITRE 8 D’AMORIS DOIT ÊTRE SUPPRIMÉ » Parce qu’il n’est pas Catholique…

https://magazinelavoixdedieu.files.wordpress.com/2018/01/d7398-heure.jpg
 

Au cours d’une interview diffusée par la chaîne de télévision catholique EWTN, le Père Gerald Murray, spécialiste du droit canonique pour le Diocèse de New-York, a demandé la suppression pure et simple du chapitre 8 d’ « Amoris laetitia ».

Selon le Père Murray, les affirmations contenues dans ce passage du document sont en totale opposition avec les enseignements de tous les Papes qui ont gouverné l’Église avant François.

À cause de l’immense popularité de cette émission auprès des Catholiques dans le monde entier, il est certain que la hiérarchie ecclésiastique du Vatican ne sera pas indifférente à ses propos. De fait, cette émission est l’émission religieuse

Catholique la plus écoutée dans le monde et le Père Murray y est un invité régulier à titre d’expert en Droit Canon.

SOURCE : http://dieuetmoilenul.blogspot.fr  

Un archevêque stupéfait par la position de François sur la communion protestante!

Mgr Terrence Prendergast, archevêque d'Ottawa, Canada, a qualifié la communion protestante en Allemagne de "mal avisée", "doctrinalement impossible", "contre l'enseignement catholique" et "spirituellement infructueuse".

Parlant à catholicregister.org le 23 mai, Prendergast appelle à être fidèle à la doctrine catholique au lieu de la miner.

Selon Prendergast, il est "curieux d'apprendre que le Saint-Père a dit aux évêques [allemands] que tout ce qu'ils décident est acceptable tant que tous sont d'accord".

https://gloria.tv/article/EJrC2N89xDw86AfmXCQtzhEUN

Un cardinal s’interroge : est-ce que le Pape François fait partie de « l’épreuve finale » ?

Un Cardinal hollandais a dit que l’échec du Pape François de maintenir la foi authentique au sein de l’Eglise Catholique lui fait penser que le Catéchisme de l’Eglise catholique inclue une prophétie d’un « épreuve finale » pour l’Eglise Catholique avant la 2ème venue du Christ.

Le Cardinal Willem Eijk, âgé de 64 ans, Archévêque d’Utrecht, a fait le commentaire surprenant dans un article publié aujourd’hui au journal National Catholic Register.

Eijk qui a été fait cardinal par le Pape Benoit XVI en 2012, a eu son diplôme médical avant d’être ordonné comme prêtre et de poursuivre en complétant 3 Doctorats en médecine, philosophie et théologie.

Dans l’article, le Cardinal se plaint de l’échec du Pape François de faire la clarté sur la question de l’intercommunion avec les Protestants durant la rencontre de la semaine passée au Vatican avec les évêques allemands. Le Pape a dit que les évêques allemands ont obtenu une approbation unanime sur la question, mais le Cardinal Eijl a dit qu’il devrait leur avoir simplement rappelé la claire Doctrine et pratique de l’Eglise Catholique.

En échouant à rendre clair cela, une grande confusion se fait parmi les fidèles et l’unité de l’Eglise Catholique est mise en danger, a-t-il dit.

« Observant que les évêques et surtout le Successeur de Saint Pierre échouent à maintenir et à transmettre fidèlement et en unité le dépôt de la Foi contenue dans les Traditions Sacrées et l’Ecriture Sacrée, je ne peux pas m’empêcher de penser à l’article 675 du Catéchisme de l’Eglise Catholique », a-t-il écrit.

L’article du Catéchisme, qu’il a cité dans son intégralité, prévient d’une épreuve qui va « secouer la Foi de beaucoup de croyants ». Cela prophétise une persécution qui va « dévoiler le ‘Mystère d’Iniquité’ dans la forme d’une tromperie religieuse offrant aux hommes une solution apparente à leurs problèmes et le prix de l’apostasie vis à vis de la vérité. »

Le Cardinal Eijk a prévenu publiquement l’an passé que par échouant à clarifier l’Enseignement de l’Eglise catholique sur le divorce et le remarriage, le Pape François était « en train de fracturer » l’Eglise Catholique.

Il n’est pas le premier Cardinal à reconnaître que la confusion dans l’Eglise causé par le Pape François est un signe de la Fin des Temps. Au forum pour la Vie de Rome l’an passé, le feu Cardinal Carlo CAFFARA a parlé de la confusion dans l’Eglise au sujet du mariage et la famille comme l’accomplissement d’une prophétie qu’il a reçu.

Dans une lettre que le Cardinal Caffara a reçu de Soeur Lucie, la visionnaire de Fatima a écrit que la « bataille finale entre Dieu et la principauté de Satan sera au sujet du mariage et de la famille. Ne soyez pas effrayé, (a-t-elle ajouté) parce que quiconque qui travaille pour la sainteté du mariage et de la famille sera toujours combattu et rencontrera une opposition de toutes sortes, parce c’est la question décisive. »

La bataille finale, a-t-il dit au Forum de Rome pour la Vie, est « en train de s’accomplir aujourd’hui ». Le Cardinal Burke a aussi identifié la confusion et l’erreur dans l’Eglise Catholique sous le Pape François avec la fin des temps. « On peut avoir le sentiment que l’Eglise Catholique donne l’apparence d’être réticente à obéir les mandats de Notre Seigneur », le Cardinal Burke a dit dans une interview au journal Catholic Herald en Novembre. « Alors peut-être nous sommes arrivé à la Fin des Temps. »

Source : www.lifesitenews.com/news/cardinal-raises…

Source: https://gloria.tv/article/qRDHQ7aiR4Ha1usQSqgmNGzJP

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Résultat de recherche d'images pour "mgr schneider"Mgr Schneider commente ainsi des questions telles que la bénédiction des couples homosexuels, l’ordination des prêtres, la Communion des époux Protestants aux Catholiques, le symbolisme maçonnique au Vatican, les prêtres mariés, le prêt d’objets sacrés par le Vatican à l’exposition de mode New-Yorkaise et le dernier mais non le moindre, le cas du petit Alfie Evans.

Le bon Évêque n’hésite pas à prendre une position claire et fondée sur des principes en matière de Foi et de morale, et nous lui sommes très reconnaissants, une fois de plus, pour son témoignage Catholique. Que ce témoignage rayonne au loin, confirmant les Catholiques du monde entier dans leur Foi.

Maike Hickson (MH) : Au début de l’année, des représentants de la Conférence Épiscopale Allemande ont proposé une bénédiction des couples homosexuels. Quelle serait une réponse à cela à la lumière de la Doctrine Catholique ?

Mgr Athanasius Schneider (MAS) : Donner une bénédiction à un couple homosexuel signifie bénir le péché non seulement des actes sexuels extra-conjugaux, mais pire encore, des actes sexuels entre personnes du même sexe, c’est -à- dire bénir le péché de sodomie, qui est considéré par l’histoire humaine presque entière et par toute la Tradition Chrétienne comme un péché qui crie vers le ciel (Catéchisme de l’Église Catholique , n ° 1867 ). Pourquoi un tel péché crie-t-il vers le ciel ? Parce qu’il annule, souille et contredit directement la nature et l’ordre de la sexualité humaine dans la complémentarité mutuelle des deux sexes telle qu’elle a été créée par la sagesse infinie de Dieu. Les actes homosexuels ou les relations homosexuelles sont directement contre la raison et toute la logique, et contre la volonté explicite de Dieu.

Les actes homosexuels sont intrinsèquement si absurdes que l’on peut les comparer, par exemple, à l’absurdité d’obstruer le mécanisme d’une ceinture de sécurité, où le connecteur sous forme de « langue » ( l’embout mâle ) est poussé dans la « boucle » ( le connecteur femelle ). Chaque personne de bon sens dira l’absurdité d’utiliser une ceinture de sécurité seulement composée deux embouts mâles ou seulement deux embouts femelles. Ça ne fonctionnera pas et ça provoquera la mort dans de nombreux cas parce que la ceinture n’a pas été attachée. De même, les actes homosexuels provoquent la mort spirituelle et souvent la mort physique en raison du risque extrêmement élevé de maladies vénériennes.

Quand les clercs promeuvent la bénédiction des relations homosexuelles, ils font la promotion d’un péché, qui crie vers le ciel, et ils promeuvent une absurdité logique. De tels clercs commettent ainsi un péché grave et leur péché est encore plus grave que celui des partenaires homosexuels qu’ils bénissent parce qu’ils donnent à ces gens des incitations à une vie de péchés continus et les exposent par conséquent au danger réel d’une condamnation éternelle. Ces clercs entendront sûrement de Dieu — au moment de leur jugement personnel — ces paroles graves : « Supposons que j’aie à prévenir un méchant qu’il va vers une mort certaine : si tu ne l’avertis pas d’avoir à changer sa mauvaise conduite afin qu’il puisse vivre, ce méchant mourra à cause de ses fautes, mais c’est toi que je tiendrai pour responsable de sa mort ». (Ézéchiel 3 :18). Les clercs qui bénissent les pratiques homosexuelles réintroduisent une sorte de prostitution des temples païens. Un tel comportement clérical est semblable à l’apostasie et à eux sont pleinement applicables ces paroles de l’Écriture Sainte : « En effet, certains hommes malfaisants se sont introduits discrètement parmi vous ; ils déforment le sens de la grâce de notre Dieu pour justifier leur vie immorale, et ils rejettent ainsi Jésus-Christ, notre seul Maître et Seigneur ». ( Jude 1, 4).

MH : Le Père Anselm Grün, un auteur de livres Allemands dont l’un des livres a récemment été loué par le Pape François, dit maintenant qu’il pourrait imaginer à l’avenir une femme pape. Le Cardinal Christoph Schönborn a également déclaré récemment qu’un futur Concile pourrait très bien établir une nouvelle règle pour les femmes prêtres et même pour les femmes évêques. Qu’est-ce qui est possible et bon dans l’Église, et qu’est-ce qui ne l’est pas ? Quel est le rôle propre des femmes dans l’Église à la lumière des Évangiles ?

MAS : Par Institution Divine, le Sacrement de l’Ordre ( sacramentum ordinis ) ne peut être administré qu’à un homme. L’Église n’a pas le pouvoir de changer cette caractéristique essentielle de ce Sacrement parce qu’elle ne peut changer un aspect substantiel des Sacrements, comme l’a enseigné le Concile de Trente ( voir s.21, chapitre 2 ). Le Pape Jean-Paul II a déclaré que l’impossibilité d’ordonner des femmes est un enseignement infaillible du Magistère Universel Ordinaire ( voir la Lettre Apostolique Ordinatio sacerdotalis, n ° 4 ), c’est donc une vérité Divinement révélée, appartenant au Dépôt de la Foi (cf. Réponse de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi du 28 octobre 1995 ).

Celui qui doute obstinément ou nie cette vérité révélée commet le péché d’hérésie, et en le faisant publiquement et avec obstination, le péché devient un crime canonique, ce qui entraîne l’excommunication automatique ( latae sententiae ). Il y a un certain nombre de clercs, et même dans les rangs épiscopaux, qui commettent aujourd’hui ce péché, se séparant ainsi invisiblement de la communauté de la Foi Catholique. Pour eux, on pourrait appliquer ces paroles de Dieu en toute sécurité : « Ces gens nous ont quittés, mais ils n’étaient pas vraiment des nôtres » (1 Jean 2 :19).

Aucun Pape et aucun Concile Oecuménique ne peuvent jamais permettre une ordination sacramentelle féminine ( que ce soit le diaconat, le presbyterium ou l’épiscopat ). Si, dans un cas hypothétique, ils le feraient, l’Église serait détruite dans l’une de ses réalités essentielles. Mais cela ne peut jamais arriver car l’Église est indestructible et le Christ est le vrai chef de son Église, qui ne permettra pas que les portes de l’enfer prévalent contre Elle dans cet aspect concret.

Le plus beau, unique et irremplaçable rôle de la femme dans l’Église est sa vocation et sa dignité d’être mère, physiquement ou spirituellement, parce que toute femme est par nature maternelle. Inséparablement avec sa caractéristique maternelle, il y a sa dignité et sa vocation nuptiale. Dans cette dignité nuptiale, la femme proclame la vérité que chaque âme Chrétienne, et aussi l’âme d’un homme, devrait être une épouse du Christ. Dans sa vocation maternelle et nuptiale, la femme vit le sacerdoce intérieur du cœur, qui lui est propre et complémentaire au sacerdoce ministériel extérieur des Apôtres. Avec quelle sagesse Dieu a-t-il établi l’ordre de la nature, qui se reflète encore plus magnifiquement dans l’ordre de la grâce, dans le Sacrement de l’Ordre ! Une ordination féminine détruirait l’ordre divin et n’apporterait par conséquent que de la laideur spirituelle, de la stérilité spirituelle et, finalement, de l’idolâtrie.

MH : Les Évêques Allemands ont approuvé en février un document qui permet aux conjoints Protestants de Catholiques, dans des cas individuels et après une période de discernement, de recevoir régulièrement la Sainte Communion. À la lumière de l’ordre sacramentel de l’Église et à la lumière de la nécessité pour les Catholiques d’aller régulièrement au Sacrement de Pénitence, est-ce que ce geste des Évêques Allemands est licite et possible ?

MAS : Depuis l’époque des Apôtres ( Actes 2 :42 ), l’intégrité de la Foi ( doctrina Apostolorum ), la Communion Hiérarchique (communicatio ) et la Communion Eucharistique (fractio panis ) sont inséparablement liées l’une de l’autre. En admettant un Baptisé à la Sainte Communion, l’Église ne doit jamais la lui dispenser sans qu’il professe l’intégrité de la Foi Catholique et Apostolique. Il ne suffit pas d’exiger de lui la Foi Catholique dans le Sacrement de l’Eucharistie ( ou dans le Sacrement de la Pénitence et de l’Onction des malades ).

Admettre un Baptisé à la Sainte Communion, et ne pas exiger de lui comme préalable indispensable l’acceptation de toutes les autres vérités Catholiques ( par exemple, les Dogmes du caractère hiérarchique et visible de l’Église, la primauté juridictionnelle du Pontife Romain, l’infaillibilité du Pontife Romain, des Conciles Oecuméniques et du Magistère universel et ordinaire, les Dogmes Mariaux, etc. ) signifie une contradiction avec l’unité nécessairement visible de l’Église et avec la nature du Sacrement Eucharistique lui-même. L’effet propre de la Communion Eucharistique est la manifestation de l’union parfaite des membres de l’Église dans le signe sacramentel de l’Eucharistie. Par conséquent, la réception même de la Sainte Communion dans l’Église Catholique — même dans des cas exceptionnels — par un Protestant ou par un Chrétien Orthodoxe constitue, en fin de compte, un mensonge. Il contredit le signe sacramentel et la réalité sacramentelle intérieure, dans la mesure où ils, les non-Catholiques admis à la Sainte Communion, continuent volontairement à adhérer visiblement aux autres croyances de leurs communautés Protestantes ou respectivement Orthodoxes.

Nous pouvons également découvrir dans ce contexte le principe problématique et contradictoire du Canon 844 du Code de Droit Canonique ( sur l’administration de certains Sacrements comme la Sainte Eucharistie aux Chrétiens non Catholiques en situation d’urgence ou de danger de mort ). Ce principe contredit la Tradition apostolique et la pratique constante de l’Église Catholique tout au long de deux mille ans. Déjà à l’époque sub-apostolique du deuxième siècle, l’Église Romaine observait cette règle comme Saint Justin l’a témoigné : « Cette nourriture est appelée parmi nous l’Eucharistie, dont personne n’est autorisé à participer sauf l’homme qui croit que les choses ce que nous enseignons est vrai » ( Apol I, 66 ). Le problème créé récemment par la Conférence Épiscopale Allemande n’est, pour être honnête, que la conséquence logique des concessions problématiques formulées par le Canon 844 du Code de Droit Canonique.

MH : Certains observateurs se rappellent ici parfois de l’introduction de la Communion dans la main, qui a d’abord été initiée au niveau régional, seulement pour être ensuite déployée dans l’Église Universelle. Voyez-vous ici des parallèles ?

MAS : Selon la logique de la fragilité humaine, le dynamisme de la pression idéologique et l’effet contaminant des mauvais exemples, des cas exceptionnels de Communion donnée aux Protestants auront aussi au fil du temps une mise en œuvre importante, qui sera alors très difficile à arrêter.

MH : Si cette nouvelle initiative de l’intercommunion est approuvée par Rome dans une prochaine réunion du 3 mai [ S’il vous plaît voir ici les résultats de cette réunion, MH], cela pourrait — est-ce que ça pourrait se transformer en un second affaiblissement de l’enseignement sacramentel de l’Église après Amoris Laetitia et ses conséquences ?

MAS : Sans aucun doute !

MH : À la lumière de ce récent projet d’intercommunion Allemand, voyez-vous ici des limites aux appels à la décentralisation dans l’Église ?

MAS : Lorsqu’il existe un réel danger que, dans une Église particulière, l’intégrité de la Foi Catholique et la pratique sacramentelle correspondante soient endommagées, le Pontife Romain doit exercer son devoir propre et corriger ces écarts afin de protéger les simples fidèles d’une déviation de l’intégrité de la Foi Catholique et Apostolique. Quand les Évêques agissent contrairement à leur devoir qui stipule qu’ils « doivent promouvoir et servir l’unité de la foi et la discipline commune de l’ensemble de l’Église » ( Concile Vatican II, Lumen gentium, 23 ), le Pontife Romain doit intervenir à cause de sa tâche d’être le « pasteur et docteur suprême de tous les fidèles » et le « maître suprême de l’Église universelle » ( Lumen gentium , 25). Lorsqu’au cours d’une navigation, certains officiers du navire commencent à percer des trous dans le flanc du navire, le capitaine du navire ne peut pas dire : « Je n’interviendrai pas car je veux suivre le principe de la décentralisation ». Chaque personne ayant du bon sens considérera qu’un tel comportement est irresponsable et absurde car cela aura des conséquences fatales. Quand cela est vrai pour la vie physique, combien plus est-ce vrai pour la vie surnaturelle des âmes ! Cependant, lorsque les Évêques locaux font bien leur travail pour promouvoir et sauvegarder la Foi, la discipline et la liturgie de l’Église, le Pape ne doit en aucune façon restreindre leurs initiatives. Dans ce cas, il y a une saine décentralisation. Dans « tout ce qui est vrai, respectable, juste, pur, agréable et honorable » ( Phil 4 : 8 ) que les Évêques locaux font, le Pape ne devrait pas interférer et il devrait les laisser agir dans ces bonnes œuvres décentralisées.

MH : Dans le contexte du prochain synode de l’Amazonie de 2019, de nombreux appels ont été lancés en faveur d’une marge de tolérance envers le sacerdoce marié dans le Rite Latin. Quelle est votre propre réponse à cela. L’Église Catholique devrait-elle et peut-elle suivre ce chemin ?

MAS : L’Église Catholique Romaine ne devrait pas tomber dans le piège des « viri probati » ou être accablée par le fait d’une pénurie drastique de prêtres dans certaines régions. Une telle réaction serait trop humaine et il n’y aurait pas de vision surnaturelle de la Divine Providence, qui guide toujours son Église. Il y a suffisamment de preuves de périodes et de régions dans l’histoire de l’Église avec une pénurie dramatique de prêtres, où la Foi Catholique des laïcs a été florissante grâce à la transmission de la Foi dans la famille et au témoignage de célibataires vertueux. J’ai moi-même passé mon enfance dans de telles conditions où il n’y a pas eu de prêtres pendant plusieurs années.

Il est suffisamment démontré par les documents de l’Église primitive que le célibat sacerdotal ou la loi de la continence sacerdotale est d’origine apostolique. Aux temps apostoliques et aux temps des Pères de l’Église, c’était une norme transmise et initialement non-écrite à savoir que, dès l’ordination sacrée ( diacre, presbytre et Évêque ), le clerc ordonné devait vivre en continence sexuelle perpétuelle, peu importe s’il était marié ou célibataire. Il existe des études scientifiques solides qui confirment ce fait, par exemple les études de Christian Cocchini, du Cardinal Alfons Stickler, de Stefan Heid et al. Le Synode de Carthage ( 390 ) au temps de Saint Augustin a déclaré la continence perpétuelle « doit être ce que les Apôtres ont enseigné et ce que l’Antiquité a observée ». Le Pape Léon le Grand ( + 450 ), observateur scrupuleux des Traditions apostoliques, a déclaré : « La loi de la continence est la même pour les ministres de l’autel, pour les Évêques et pour les prêtres ; quand ils étaient encore des laïcs ou des lecteurs, ils pouvaient librement prendre femme et engendrer des enfants. Mais une fois qu’ils ont atteint les rangs mentionnés plus haut, ce qui avait été permis ne l’est plus » ( Epist. Rusticum ). L’interdiction catégorique de contracter un mariage après l’Ordination était universellement valable et est toujours valable même dans les Églises Orthodoxes, là où le célibat pour un prêtre diocésain est aboli. C’est une démonstration claire du fait que la loi de la continence pour les Ordres supérieurs est d’origine apostolique.

La première tentative de briser la tradition apostolique de la loi de la continence, c’est-à-dire de la loi du célibat dans un sens plus large, a été la législation de l’Église Byzantine dans le soi-disant Second Synode de Trulla ( 691 ) lequel, cependant, n’a pas été reconnu par le Siège Apostolique. Selon la législation Byzantine, le prêtre marié devait observer la continence sexuelle la veille de la célébration du Sacrifice Eucharistique. Pourtant, un vrai prêtre Catholique, qui est jour et nuit « un autre Christ » (alter Christus ), et qui devrait donc célébrer quotidiennement le Saint Sacrifice, doit vivre toujours dans une parfaite continence. C’est une conséquence logique de la dignité ontologique du Sacerdoce du Nouveau Testament et de son lien perpétuel avec l’offrande du Sacrifice du Christ sur l’autel, contrairement au sacerdoce dynastique charnel de l’Ancien Testament qui n’était obligé à la continence sexuelle que pendant son service périodique dans le Temple. C’est précisément avec la référence aux prêtres de l’Ancien Testament, à qui il était permis d’avoir des rapports sexuels avec leurs épouses que le Synode de Trulla de 691 dispensa les prêtres mariés de la loi de la continence.

Suite de ce long article à la page 14 

Source : https://magazinelavoixdedieu.wordpress.com/2018/05/24/mgr-schneider-commente-ainsi-des-questions-telles-que-la-benediction-des-couples-homosexuels-lordination-des-pretres-la-communion-des-epoux-protestants-aux-catholiques-le-symbolisme-maconnique-au
Source : dieuetmoilenul.blogspot.com/…/avec-mgr-schnei…
Source: https://gloria.tv/album/76VN81FZDJbK2uSHFW7kZmX3K/record/MAhSJTzZbpit2s3KhWguz

Amoris laetitia ?  Amoris laetitia, ?
Document chargé  d’ambiguïtés ! document dévastateur !
Tu véhicules une fausse charité . Malheur à toi ! Malheur à toi !

Tu conduis les enfants de DIEU LE PERE en enfer .Oui ! Il est écrit que « la bataille finale entre le Seigneur et le règne de Satan sera sur le mariage et la famille».

le Père Gerald Murray nous dit que:
« LE CHAPITRE "8 " D’AMORIS DOIT ÊTRE SUPPRIMÉ » Parce qu’il n’est pas Catholique…
 
Je ( moi )  crains que les détracteurs  de Ta Sainte Parole : ( certains de TES choisis SEIGNEUR, n’ont pas compris la profondeur de TES dogmes, Faute de prières et de discernements , ils nous conduisent sur le mauvais chemin  ) Pitié !!! Pitié SEIGNEUR, je T'en prie , Reviens-vite à présent ; Ton petit reste T'attend .

Dans ce document, " Les paroles de Jésus contre l’adultère ne figurent nulle part dans les deux cent pages de l’exhortation post-synodale " d’Amoris-laetitia. Tout comme n’apparaissent pas non plus les terribles paroles de condamnation de l’homosexualité rédigées par l’apôtre Paul, dans le premier chapitre de la Lettre aux Romains.
(De nombreux consacrés dont des Cardinaux s’opposent à ce document ).
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Tous les actes sexuels hors mariage sont coupables.
Message de Jésus donné au Père Melvin Doucette (Canada)
Je déteste tous les actes sexuels immoraux, y compris les actes homosexuels
Voici maintenant le message que Joseph Melvin a reçu de notre Seigneur et Sauveur.

Il a entendu Jésus lui dire ceci :
« C’est un fait que la foi d’un grand nombre de mes fidèles s’est affaiblie. Beaucoup vivent dans des pays qui étaient chrétiens autrefois, mais sont devenus païens aujourd’hui. Ces pays ne font plus respecter aucune moralité, de sorte qu'on y retrouve l’immoralité sous toutes ses formes.

Combien de gens vivent comme mari et femme sans être mariés?  Certains vont à l’église et même viennent me recevoir dans la sainte Communion, et pourtant ils mènent une vie immorale.

« Je déteste tous les actes sexuels immoraux, y compris les actes homosexuels, mais on adopte de plus en plus ce mode de vie comme s’il n’y avait rien de mal. Les homosexuels peuvent être sauvés s’ils cessent de faire des actes sexuels, car ces actes sont gravement coupables. Tous les actes sexuels hors mariage sont coupables.
« Rappelez-vous : étant mes disciples, vous êtes unis à moi et votre corps est mien. Tous les actes immoraux que vous accomplissez avec votre corps m’offensent et je ne peux pas habiter dans votre cœur si vous continuez à commettre de tels actes.

Je vous appelle aujourd’hui à mener une vie vertueuse, car la Loi de Dieu dit : "Ne commets pas d’adultère." Respectez-vous et soyez saints. Votre corps est partie intégrante de votre identité, et puissiez-vous être saints dans votre corps. Si vous voulez être mon ami, menez une vie vertueuse et évitez tous les péchés sexuels. Je vous bénis tous. »

( Voire toutes les pages plus bas )
 
 



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